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Atlas de l’inspection visuelle à l’acide acétique du col de l’utérus pour dépister, trier et déterminer l’éligibilité des lésions au traitement ablatif

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Cas IVA positive                                                                              Cliquer pour retourner à l’atlas
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  • Cas : 140

  • Age : 32

    • Avant l’application d’acide acétique : Col de l’utérus recouvert d’un film de sécrétions mucoïdes normales. JPC entièrement visible sur l’exocol.

  • Col de l’utérus avant l’application d’acide acétique :  

    • Après l’application d’acide acétique : Présence sur la lèvre antérieure d’une importante région faiblement acidophile, débutant à partir de la JPC pour s’étendre en direction du cul-de-sac vaginal. De telles lésions s’étendent au-delà de la ZR.

    Après l’application d’acide acétique : Présence sur la lèvre postérieure d’une région faiblement acidophile, s’étendant aussi vers le cul-de-sac vaginal.

  • Col de l’utérus après l’application d’acide acétique :
    • Visibilité de la JPC :  
    • Localisation de la JPC :  
    • Région acidophile :  
      • Si présente, description de la région acidophile :
        • Coloration :  
        • Marge :  
        • Surface :  
        • Localisation :  
        • Taille :  

  • Catégorie d’IVA :  

  • Eligibilité au traitement ablatif :  

  • Histologie : Normal

  • Remarques : Une vaste région faiblement acidophile de forme oblongue (losange), s’étendant aux culs-de-sac vaginaux, est un aspect caractéristique de la zone de remaniement congénitale (ZRC). Il s’agit d’un état normal qui ne nécessite pas de traitement. Cependant, à l’œil nu, la ZRC peut ressembler à une lésion de bas grade et doit donc être enregistrée comme un résultat positif de l’IVA. Dans ce genre de cas, il ne faut pas tenter une résection à l’anse diathermique (RAD), même dans le cadre d’une approche « dépister et traiter ». S’il y a le moindre doute, il faut prélever une biopsie.





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