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Tests VPH pour le dépistage du cancer du col de l’utérus et prise en charge des femmes positives au VPH – guide pratique

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Recours au test VPH comme test de guérison chez les patientes traitées pour des anomalies du col de l’utérus ou des néoplasies cervicales intraépithéliales (CIN)

  


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Le risque de développer une pathologie grave est plus élevé chez les patientes soignées pour une infection VPH (dans le cadre de l’approche dépister et traiter) ou pour des CIN que dans la population féminine générale.

Par conséquent, le suivi post-traitement est essentiel. La sensibilité et la valeur prédictive négative élevées du test VPH font de lui le test de guérison post-traitement.

Le test VPH est efficace pour détecter les lésions résiduelles ou récidivantes après traitement des CIN2 ou de plus haut grade. Il est plus sensible que la cytologie seule.






Chez les femmes de la population générale, positives au VPH et traitées par ablation ou excision de la ZR (avec ou sans diagnostic histopathologique), si le test VPH répété au bout d’1 an est négatif, alors le dépistage peut reprendre à son rythme habituel (selon le protocole de dépistage primaire).



Les femmes vivant avec le VIH, traitées par ablation ou excision de la ZR (avec ou sans diagnostic histopathologique), peuvent revenir au rythme habituel de dépistage après deux tests VPH consécutifs négatifs réalisés à 1 an d’intervalle.





























































  
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